Dorénavant, la géographie humaine est notre objet d’étude écologique obligatoire. Elle domine très largement la sphère naturelle, elle se fait comme jamais auparavant englobante. Le mot « localisme » doit être traité à sa juste échelle transectionnelle : qu’elle soit paroissiale, nationale, continentale, …
Cette question territoriale n’est autre qu’un terme propriétarial, qui réunit les « intéressés » et exclut les autres par assignation – par rapport de force.
Il est peu probable que l’écologie mondiale s’en sortira en traitant « certains animaux » et surtout certains humains comme des « externalités ».
libertés, auto-organisation de la base, prise en charge écologique face aux événements extrêmes (canicule, sécheresse, grève) et au conservatisme socio-industriel